Sponsored Content: Erkältungszeit: Wenn der Hals Alarm schlägt

Ein Kratzen im Hals ist zwar meist das erste Signal, doch hinter den Kulissen läuft die Entzündung im Rachen schon auf Hochtouren – mit typischen Begleitern wie Rötung, Schwellung, Schluckbeschwerden und Schmerzen. Für Betroffene zählt dann vor allem, dass die Beschwerden schnell nachlassen und die Heilung aktiv unterstützt wird.

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Unkomplizierte Halsschmerzen, unabhängig von viralem oder bakteriellem Ursprung, sind in der Regel selbstlimitierend und heilen innerhalb weniger Tage bis zu einer Woche aus.^1,2 Dennoch wünschen sich viele Betroffene aufgrund des hohen Leidensdrucks eine schnelle Linderung ihrer Symptome und suchen daher eine Apotheke oder Drogerie auf.

Sofern keine schweren klinischen Symptome wie hohes Fieber, Atemnot oder andere Warnzeichen vorliegen, ist gemäss aktueller „S3-Leitlinie Halsschmerzen“ eine symptomatische Behandlung angezeigt (siehe Infobox).¹ Neben ausreichender Flüssigkeitszufuhr und körperlicher Schonung empfiehlt die Leitlinie zur lokalen Schmerz- und Reizlinderung den Einsatz von Lokalanästhetika oder nicht-steroidalen Antirheumatika (NSAR) wie Flurbiprofen.¹

Zur systemischen Therapie kann auf schmerzstillende und fiebersenkende Mittel wie Paracetamol und zusätzlich entzündungshemmende Mittel wie Ibuprofen, Diclofenac und Naproxen zurückgegriffen werden. Diese lindern sowohl Halsschmerzen als auch allgemeine Erkältungssymptome wie Kopf- und Gliederschmerzen sowie Fieber.¹

Mein Tipp für zufriedene Kunden:

Halsschmerzen effektiv bekämpfen – mit Flurbiprofen gezielt in die Entzündungskaskade eingreifen
Möchte man zusätzlich zur Symptomkontrolle auch die Heilung vorantreiben, sind Flurbiprofen-haltige Präparate eine bewährte Empfehlung für Betroffene von Halsschmerzen. Denn das NSAR Flurbiprofen setzt gezielt an der Schmerzursache an: der Entzündung. Es hemmt das Enzym Cyclooxygenase (COX), das eine Schlüsselrolle bei der Bildung proinflammatorischer Botenstoffe wie Prostaglandin spielt.³ So greift Flurbiprofen direkt in die Entzündungskaskade ein und reduziert diese effektiv. Der Halsschmerz wird gelindert und die Rachenschleimhaut beruhigt. Durch die Applikation als Spray oder Lutschtablette (Strepsils® Dolo) gelangt Flurbiprofen direkt an den Ort des Geschehens, dringt tief in das Rachenepithel ein und entfaltet dort seine lokale Wirkung: schmerzlindernd, entzündungs-hemmend und abschwellend.⁴

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Combattre l’inflammation, pas seulement sur la douleur !

Contenu sponsorisé: Saison des infections respiratoires : Quand la gorge donne les premiers signes d’alerte

Une légère irritation de la gorge constitue souvent le premier signe d’un épisode infectieux, alors qu’une inflammation du pharynx est déjà en cours. Celle-ci se manifeste par une rougeur de la muqueuse, un oedème, une dysphagie et des douleurs pharyngées. Pour les patients concernés, l’objectif principal est d’obtenir un soulagement rapide des symptômes tout en favorisant la guérison.

Les maux de gorge simples, le plus souvent d’origine virale et plus rarement bactérienne, sont généralement auto-limités et disparaissent spontanément en 3 à 7 jours.^1,2 Cependant, en raison de l’inconfort qu’ils provoquent, de nombreux patients recherchent un soulagement rapide et se tournent vers leur pharmacie ou droguerie pour obtenir un conseil adapté.

En l’absence de signes cliniques sévères tels qu’une forte fièvre, une dyspnée, ou d’autres symptômes d’alerte, les recommandations S3 actuelles préconisent un traitement symptomatique (voir encadré).¹ En complément d’un apport hydrique suffisant et du repos, ces recommandations suggèrent l’utilisation d’anesthésiques locaux ou d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), tels que le flurbiprofène, pour atténuer la douleur et l’inflammation locales.¹

Pour un traitement systémique, des antalgiques et antipyrétiques comme le paracétamol, ainsi que des AINS tels que l’ibuprofène, le diclofénac ou le naproxène, peuvent être utilisés. Ces médicaments permettent de soulager les douleurs pharyngées, tout en réduisant les symptômes généraux du rhume tels que les céphalées, les myalgies et la fièvre.¹

Mon conseil pour des clients satisfaits :

Combattre efficacement les maux de gorge – agir directement sur la cascade inflammatoire avec le flurbiprofène
Pour les patients qui souhaitent, en plus de soulager les symptômes, soutenir la résolution de l’inflammation, les préparations à base de flurbiprofène constituent une option thérapeutique éprouvée. Le flurbiprofène, un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS), agit directement au niveau du foyer inflammatoire, c’est-à-dire à la source de la douleur. Il inhibe l’enzyme cyclo-oxygénase (COX), qui joue un rôle clé dans la synthèse des prostaglandines pro-inflammatoires.³ Ainsi, le flurbiprofène intervient au coeur de la cascade inflammatoire et en réduit efficacement l’intensité. Les douleurs pharyngées s’atténuent et la muqueuse est apaisée. Sous forme de spray ou de pastilles (p. ex. Strepsils® Dolo), le flurbiprofène atteint directement le site de l’inflammation, pénètre les couches de l’épithél

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Referenzen/Références:

1. Deutsche Gesellschaft für Allgemeinmedizin und Familienmedizin. S3-Leitlinie Halsschmerzen, Nr. 14. (2020).
2. Wolford RW et al. Pharyngitis. [Updated 2023 May 1]. In: StatPearls [Internet]. Treasure Island (FL): StatPearls Publishing; 2024 Jan. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK519550/.
3. Sefia E et al. Flurbiprofen lozenges rapidly reduce levels of the inflammatory mediator prostaglandin E in human respiratory cells in vitro. Poster presented at: Annual Scientific Meeting of the British Pain Society; April 24–27, 2007; Glasgow, UK.
4. Turner R et al. Determination of the Permeation and Penetration of Flurbiprofen into Cadaveric Human Pharynx Tissue. Clin. Pharmacol. Adv. Appl. Volume 12, 13–20 (2020)

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Kurzfachinformation

STREPSILS DOLO STREPSILS DOLO ORANGE STREPSILS DOLO SPRAY Z: Flurbiprofenum 16,2 mg/1 ml Spray zur Anwendung in der Mundhöhle. I: Zur kurzzeitigen symptomatischen Behandlung bei schmerzhaften Entzündungen der Rachenschleimhaut. D: Alle 3 – 6 Stunden 3 Sprühstösse in den Rachenraum sprühen, maximale Tagesdosis 5 Applikationen. KI: Bekannte Überempfindlichkeit gegenüber dem Wirkstoff, Magen- oder Darmgeschwüre/-Blutungen, schwere Kolitis, Blutungs- oder Blutbildungsstörungen, Anamnese von allergischen Erkrankungen nach Einnahme von Acetylsalicylsäure oder anderen NSAR, letztes Drittel der Schwangerschaft, Kinder unter 12 Jahren, schwere Herz-, Nieren- oder Leberinsuffizienz. V: Asthma bronchiale, gastrointestinale Beschwerden, Bluthochdruck, Nieren-, Herz- und Leberinsuffizienz, Flurbiprofen kann die Thrombozytenaggregation verringern und die Blutungszeit verlängern, ältere Patienten, hereditäre Fructose- / Galactose-Intoleranz, Glucose-Galactose-Malabsorption oder Sucrase-Isomaltase-Insuffizienz, systemischer Lupus Erythematodes und Mischkollagenosen, Allergien auf die Konservierungsstoffe E216 und E218, kann abführend wirken. IA: Acetylsalicylsäure, andere NSAR, Orale Antikoagulantien, Dipyridamol, Heparin; Diuretika, Antihypertensiva; Orale Antidiabetika (Sulfonylharnstoffe), Thrombozytenaggregationshemmer und Selektive Serotonin-Wiederaufnahme-Hemmer, Alkohol, Herzglykoside (z. B. Digoxin), Ciclosporin, Corticosteroide, Lithium, Methotrexat, Mifepriston, Chinolonantibiotika, Tacrolimus, Zidovudin. S: KI im 3. Trimester der Schwangerschaft, nicht empfohlen im 1. und 2. Trimester; Flurbiprofen geht in sehr geringer Konzentration in die Muttermilch über, daher nicht anwenden bei stillenden Frauen. UW: Unangenehmes Gefühl im Mund, Kopfschmerzen, Schwindel, Rachenreizungen, Übelkeit, Diarrhöe, Ulzerationen der Mundschleimhaut, Mundtrockenheit, oropharyngeale Schmerzen, Somnolenz, Verschlimmerung von Asthma und Bronchospasmen, Dyspnoe, oropharyngeale Blasenbildung, pharyngeale Hypoästhesie, Dyspepsie, Erbrechen, Flatulenz, abdominale Distension, Abdominalschmerzen, Obstipation, Glossodynie, Dysgeusie, orale Dysästhesie, Exanthem, diverse Hautausschläge, Pruritus, Fieber, Schmerzen, Insomnia. Abgabekategorie: D Reckitt Benckiser (Switzerland) AG, 8304 Wallisellen.

information professionnelle abrégée

STREPSILS DOLO STREPSILS DOLO ORANGE STREPSILS DOLO SPRAY C : Flurbiprofenum 8,75 mg par comprimé à sucer ; 16,2 mg/1ml de solution pour pulvérisation buccale. I : Pour le traitement symptomatique de courte durée des pharyngites douloureuses. P : Comprimé à sucer : Laissez lentement fondre dans la bouche une pastille toutes les 3 à 6 heures en cas de besoin, la dose journalière maximale est de 5 pastilles ; Solution pour pulvérisation buccale : faire 3 pulvérisations dans la cavité pharyngée toutes les 3 à 6 heures. La dose journalière maximale est de 5 administrations. CI : Hypersensibilité connue au principe actif, antécédents d’ulcère ou d’hémorragies gastro-intestinales, de colite sévère, d’hémorragies ou de troubles de l’hématopoïèse, anamnèse de maladies allergiques après la prise d’acide acétylsalicylique ou d’autres AINS, le dernier trimestre de la grossesse, enfants de moins de 12 ans, insuffisance cardiaque, rénale ou hépatique sévère. M/P : Asthme bronchique, troubles gastro-intestinaux, hypertension artérielle, insuffisance rénale, cardiaque ou hépatique ; le flurbiprofène peut inhiber l’agrégation thrombocytaire et prolonger le temps de saignement, patients âgés, intolérance héréditaire au fructose/galactose, malabsorption du glucose-galactose ou insuffisance de la sucrase-isomaltase, lupus érythémateux disséminé et collagénoses mixtes, allergies aux conservateurs E216 et E218, peut avoir un effet laxatif. IA : Acide acétylsalicylique, autres AINS, anticoagulants oraux, dipyridamole, héparine ; diurétiques, antihypertenseurs ; antidiabétiques oraux (sulfonylurées), antiagrégants plaquettaires et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, alcool, glycosides cardiotoniques (p. ex. digoxine), ciclosporine, corticostéroïdes, lithium, méthotrexate, mifépristone, antibiotiques de la famille des quinolones, tacrolimus, zidovudine. G : CI pendant le 3ème trimestre de la grossesse ; ne pas recommandé pendant les 1er et 2ème trimestres, le flurbiprofène passe à de très faibles concentrations dans le lait maternel et ne doit par conséquent pas être utilisé par les femmes qui allaitent. EI : Sensation désagréable dans la bouche, céphalées, vertiges, irritation de la gorge, nausées, diarrhées, ulcérations de la muqueuse buccale, sécheresse buccale, douleurs oropharyngées, somnolence, aggravation d’un asthme et bronchospasmes, dyspnée, formation des vésicules oropharyngées, hypoesthésie pharyngée, dyspepsie, vomissements, flatulences, distension abdominale, douleurs abdominales, constipation, glossodynie, dysgueusie, dysesthésie buccale, exanthème, diverses éruptions cutanées, prurit,